Paris vient d’assigner la plateforme de location touristique pour non-respect des obligations déclaratives. Déstabilisation du marché locatif et remise en cause du vivre-ensemble déterminent les grandes métropoles de l’Union à encadrer l’activité d’AirBnb.
La perspective d’un divorce chaotique d’avec le Royaume-Uni a refroidi les velléïtés des populistes de rompre avec l’Union. Désormais influents, ils choisissent plutôt de changer l’Europe de l’intérieur. Avec le soutien de plus en plus fréquent de la droite classique.
Les estimations économiques d'un départ du Royaume-Uni sans accord touchent désormais des pays éloignés de la zone euro, mais qui ont des relations économiques étroites avec Londres.
En France, les classes aisées sont sévèrement ponctionnées au niveau de l’immobilier et des grosses successions. Mais elles ne sont pas, désormais, plus mal traitées qu’ailleurs en matière d’épargne et elles paient moins d’impôt sur le revenu que dans les autres pays.
Depuis leur émergence en 2008, les obligations vertes ont fait beaucoup de chemin jusqu’à devenir incontournables dans le financement de nombreux projets. Autrefois perçues comme un gadget, ces obligations répondent aujourd’hui à de nouvelles exigences en termes de responsabilité environnementale et sociale. Les financements se multiplient dans différents secteurs d’activités et le marché européen – premier au niveau mondial – se structure autour de grandes entreprises qui font le pari d’assembler leurs forces afin de faire fructifier des obligations vertes à la demande toujours plus forte.
Un dépistage précoce des maladies chroniques est pourtant bénéfique pour l'ensemble de la société et garantit une meilleure insertion grâce aux nombreuses associations caritatives.
Un « no deal » sur le Brexit aurait des effets économiques sévères pour le Royaume-Uni. Mais aussi pour les pays européens ayant des liens industriels et commerciaux étroits avec Londres: Bénélux, Scandinavie mais également la France.
Soumis à une batterie de contrôles tout au long de son cycle, le nucléaire, partie prenante du mix énergétique de la France, n'a en fin de compte quasiment aucun effet négatif sur l'environnement. L'impact des centrales sur la radioactivité naturelle française, évaluée à 2,9 millisievert (mSv) par an, est inférieure à 1 %, tandis qu'en amont, la transformation de l'uranium a vu la technologie évoluer, ces dernières années, afin de limiter au maximum les rejets nocifs dans la nature.
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