Hier s'est achevé le troisième round des discussions sur le Brexit entre l'Union européenne et le Royaume-Uni. Si Londres refuse toujours de communiquer le montant de la facture dont elle devra s'acquitter pour sortir des Vingt-Huit, la question de l'"exit bill" est loin d'être la seule à résoudre.
Mardi dernier, le ministre russe de la Défense a confirmé que se tiendront, du 14 au 20 septembre prochains, des exercices militaires russes et biélorusses à la frontière de l'Union européenne. Une provocation pour les pays baltes et la Pologne, qui estiment que Moscou souhaite simuler un conflit armé avec l'OTAN.
D'après une étude publiée lundi dernier par l'agence Eurostat, la France, qui a consacré en 2015 5,5 % de son PIB à l'Education nationale, se range à la 12ème place du classement européen en la matière. Caracolent en tête le Danemark, la Suède et la Belgique et occupent le bas du panier l'Italie, l'Irlande et la Roumanie.
Emmanuel Macron a reçu, hier, l'ensemble des ministres et des collaborateurs pour évoquer les dossiers brûlants de la rentrée, alors qu'il a vu sa cote de popularité chuter cet été.
Au lendemain d'une manifestation contre le terrorisme, dans les rues de Barcelone, qui a réuni 500 000 personnes, le chef de l'exécutif régional, Carles Puigdemont, a réaffirmé son souhait d'organiser un référendum le 1er octobre prochain pour l'indépendance de la Catalogne.
Mercredi 23 et jeudi 24 août, Emmanuel Macron était en Autriche et en Roumanie pour évoquer la révision de la directive européenne sur les travailleurs détachés, et tenter de faire infléchir les pays de l'Est, traditionnellement opposés à toute évolution.
Bien que le fonds souverain norvégien, chargé de faire fructifier les revenus pétroliers du pays, ait gagné 202 milliards de couronnes au deuxième trimestre 2017, a annoncé ce mardi la Banque de Norvège, les défis ne manquent pas, entre la chute des prix des hydrocarbures et la lutte contre le réchauffement climatique.
La cloche la plus célèbre d'Angleterre, et peut-être même du monde, sonnera ses derniers coups à midi, aujourd'hui, avant d'être mise sous silence pour des travaux censés durer quatre ans. Une décision bien plus politique qu'il n'y parait.
L'attaque, qui a fait 13 morts et une centaine de blessés, a été revendiquée par Daesh en réponse à l'engagement de l'Espagne dans la coalition internationale qui oeuvre en Irak et en Syrie. Depuis les attentats de Madrid, en 2004, le pays s'est pourtant armé de l'un des meilleurs systèmes de prévention d'attaques terroristes au monde.
D'après un sondage IFOP dévoilé le 11 août dernier, les Français ne sont plus que 36 % à être satisfaits de l'action du président de la République. Qui a, entre des affaires judiciaires à répétition, des lois impopulaires et une brouille avec le chef d'état-major des armées, perdu le crédit qu'il avait en arrivant à l'Elysée.
Après que les autorités libyennes ont interdit aux bateaux secourant les migrants d'approcher des côtes de leur pays, jeudi dernier, certaines ONG ont annoncé, ce weekend, qu'elles mettaient entre parenthèses leurs activités d'aide aux réfugiés.
Après qu'EDF a annoncé, début juillet dernier, une hausse du prix du projet, Jean-Bernard Lévy, le patron de l'électricien français, a réaffirmé au ministre de l'Economie qu'il reprenait la main sur le dossier et que les travaux commenceraient à la date prévue, mi-2019.
Le 25 juillet dernier, la Grèce faisait son grand retour sur les marchés financiers, où elle a émis pour la première fois depuis sept ans des obligations à hauteur de trois milliards d'euros. Un signe encourageant, pour Pierre Moscovici, le commissaire européen aux Affaires économiques, qui estime que le pays peut sortir de l'austérité d'ici quelque temps.
Après avoir mis la main sur la justice constitutionnelle de son pays, le gouvernement eurosceptique polonais a engagé des réformes pour faire de même sur son appareil judiciaire. Le coup de trop pour Bruxelles, qui menace Varsovie de la mettre au ban de l'Union européenne.
En avril dernier, le gouvernement Cazeneuve entérinait la procédure du tirage au sort pour l'admission à l'université, assez décriée en France. Pour la remplacer, certains évoquent la sélection, qui a déjà cours en master par exemple.
Le Grand-Duché a adopté, jeudi 13 juillet, une loi autorisant les entreprises à explorer et exploiter les ressources spatiales, comme les hydrocarbures, les métaux ou encore l'eau. Il intègre ainsi le cercle restreint des pays ayant fait le choix de cette industrie du "Nouvel espace", pas toujours bien perçue.
Dans un entretien aux "Echos", mardi 11 juillet, le Premier ministre français, Edouard Philippe, a précisé la feuille de route du gouvernement en matière fiscale. Grâce à des baisses d'impôts et une réduction de la dépense publique, l'exécutif souhaite maintenir le déficit public sous la barre des 3 % du PIB, comme l'avait annoncé Emmanuel Macron.
Un an après sa prise de fonctions au Ten Downing Street, c'est peu dire que la situation n'est pas optimale pour la Première ministre. Depuis la claque des législatives anticipées en juin dernier, Theresa May semble même très affaiblie pour négocier avec Bruxelles sur le Brexit, alors que les dissensions de son propre camp sur la question apparaissent très clairement.
L'Estonie, qui a pris le 1er juillet dernier la présidence tournante de l'Union européenne pour six mois, devrait profiter de son mandat pour engager Bruxelles sur les rails du numérique, sans faire toutefois abstraction des questions sensibles, comme la cybersécurité par exemple.
La chancelière allemande, qui présentait hier le programme des conservateurs pour les législatives de septembre prochain, promet notamment "la prospérité et la sécurité pour tous". Mais au-delà des formules choc, celle qui brigue un quatrième mandat semble gérer son entrée en campagne d'une main de maitre.
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