"Il y a encore des réticences dans les Etats membres à accepter de nouveaux membres" a répondu le commissaire autrichien Johannes Hahn, responsable de la politique d'intégration européenne.
Emmanuel Macron a convaincu une majorité de ses partenaires d'organiser des débats démocratiques sur l'avenir de l'Europe. Certains pays ont pourtant renoncé, en raison de la complexité de la procédure de consultation.
Les Etats membres ont menacé de mettre un terme à leurs aides si le « harcèlement » à l’encontre de l’opposition et de la société civile ne cesse pas. Ils ont également prolongé pour un an les sanctions contre 16 hauts responsables du pays.
La Commission européenne a déclenché, mercredi 20 décembre, l'article 7 du traité de l'UE, en raison du « risque clair d'une violation grave de l'Etat de droit en Pologne ».
Après de longs mois de négociations infructueuses, les autorités britanniques et européennes sont parvenues à un accord sur les conditions de la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. La plupart des dirigeants européens ont exprimé leur soulagement.
Plusieurs dizaines de milliers de partisans de l'indépendance catalane se sont réunis dans la capitale belge, jeudi 7 décembre. Ils demandent à l'Europe de respecter le peuple catalan.
Destitué après la tentative d'indépendance de la Catalogne, l'ancien président de la région espagnole demeure visé par un mandat d'arrêt dans son pays.
La chance a souri à Paris, lundi soir, la capitale française s'étant vue attribuer le futur siège de l'Autorité bancaire européenne (EBA), qui devra quitter Londres une fois le Brexit entré en vigueur.
A l'occasion des célébrations de la guerre de 1914-1918, Emmanuel Macron et Frank-Walter Steinmeier ont inauguré un musée franco-allemand. Les deux hommes d'Etats ont insisté sur la « réconciliation » et la relance de l'Europe.
Le président catalan, Carles Puigdemont, a déclaré l'indépendance de la région espagnole hier soir. Le gouvernement de Mariano Rajoy a immédiatement décidé de placer la Catalogne sous tutelle
Mardi, près de 5 000 Ukrainiens sont descendus dans les rues de la capitale, Kiev, menés par l'ancien président géorgien Mikheïl Saakachvili. Ils demandent l'entrée en vigueur de nouvelles mesures destinées à lutter contre la corruption, qui reste endémique dans le pays.
Les députés européens ont voté pour la création d'un parquet spécial. Une mesure qui ne s'appliquera qu'à 20 Etats membres sur 28, dans le cadre d'une coopération renforcée.
Hier matin, le président de la Commission européenne s'est adressé, comme tous les ans, aux députés réunis au Parlement européen, pour son discours sur l'état de l'Union. Le pure player Politico.eu en a profité pour détricoter ses paroles, un peu trop teintées d'eau de rose à son goût.
On prête à l'actuel responsable du Brexit côté européen, ancien commissaire à Bruxelles et passé par les cabinets ministériels en France, le dessein de se présenter à la présidence de la Commission européenne. D'où l'importance, s'il veut succéder à Jean-Claude Juncker en 2019, de parvenir à une sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne tout en douceur.
Perçu comme une véritable "arme nucléaire" dans la musette de Bruxelles, l'article 7 du Traité de l'Union européenne, qui permet une mise à l'écart d'un Etat membre des relations européennes, ne pourra sans doute pas être utilisé. En cause, notamment, le soutien de la Hongrie à la Pologne, dont les réformes de la justice tout juste adoptées portent atteinte à l'Etat de droit.
A la suite de la réunion du G7, qui se tenait ce weekend en Italie, la chancelière allemande a tenu des propos très critiques à l'encontre des Etats-Unis et du Royaume-Uni. Angela Merkel a ainsi estimé que l'Europe ne pouvait plus compter sur Washington ni Londres.
La Cour de justice de l'Union européenne estime que la Commission européenne n'a pas le droit de conclure des accords de libre-échange sans l'aval des parlements de chaque Etat membre.
Lors de leur première rencontre officielle, lundi 15 mai à Berlin, le président français et la chancelière allemande ont affiché leur amitié. Ils sont convenus de travailler sur des sujets de court terme, mais aussi d'approfondir l'Union européenne et la zone euro.
L'Europe malade de ses populismes Le dessin d'Hervé Pinel pour Myeurop
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