Depuis 1995, le niveau des élèves français dans ces deux matières ne cesse de chuter. Aujourd'hui, la France se trouve juste avant Chypre, la Roumanie et le Chili dans les derniers du classement. Des mauvais résultats qui handicaperont le pays sur les secteurs de pointe.
L'opinion européenne espère le début de la fin de la deuxième vague de la pandémie, mais les experts redoutent une troisième vague pour le début 2021 si la lutte contre le virus ne bénéficie pas de systèmes de traçage plus locaux et plus efficaces.
Jour après jour, les pays européens multiplient les restrictions et restaurent le confinement, alors que le vieux continent est redevenu l'épicentre de la pandémie. Si ces mesures sont globalement acceptées par les populations, la colère grandit auprès des plus fragiles, qui protestent au nom de la "liberté".
Plusieurs régions de l'Europe font face à la désertification de leur population, en particulier les jeunes, qui se dirigent vers les grands centres urbains. Ce qui a des conséquences sociales importantes, et qui encourage les partis populistes qui progressent, à l'Est et au Sud.
L'Europe doit intervenir pour réduire le nombre de ces pratiques qui mettent en danger la santé des femmes et des enfants, parfois leur vie, et constituent une atteinte à leur dignité.
La France fait désormais partie des pays européens, comme l'Italie, la Hongrie et la Roumanie, dont la politique carcérale, en crise structurelle, est surveillée par l'Europe.
Plus de 45.000 personnes ont débarqué en Grèce en 2019. L'Europe échoue dans le traitement de cette crise migratoire qui se prolonge et s'aggrave, au risque de radicaliser les populations locales, qui se sentent aussi abandonnées.
Cette épidémie alimente les craintes d'une réapparition d'un virus de type Sras (Syndrome respiratoire aigu sévère), hautement contagieux, qui avait tué 650 personnes en Chine et à Hongkong en 2002 et 2003.
Avoir accès à une interruption volontaire de grossesse n'est pas garanti dans tous les pays, et de nombreuses femmes n'ont pas d'autre choix que de partir à l'étranger.
L'arrivée de migrants diminue pour la troisième année consécutive, mais les camps de réfugiés sont surpeuplés, comme à Moria, sur l'île de Lesbos. Et l'Union européenne n'est toujours pas parvenue à mettre sur pied un plan efficace.
Cette étude, publiée tous les trois ans, qui évalue depuis 2000 les compétences en sciences, en mathématiques et en compréhension de l'écrit des élèves de 15 ans, alerte sur les résultats moyens de la France et en particulier les inégalités selon les origines sociales.
Un dispositif européen de protection est pourtant entré en vigueur depuis neuf ans, mais il reste souvent méconnu en France, avec environ 3000 demandes contre près de 40.000 en Espagne.
Pour la première fois depuis 2016, la Grèce est redevenue la principale porte d'entrée des migrants en Europe. Le nouveau gouvernement voudrait accélérer le retour des réfugiés vers la Turquie alors d'autres réfugiés tentent de fuir les zones de conflit en Syrie.
Malgré l'alerte lancée par le mouvement #MeToo il y a deux ans, les violences sexistes à l'encontre des femmes restent peu étudiées et répertoriées, surtout au niveau du Continent.
La France et l'Allemagne espèrent obtenir un accord européen sur une répartition automatique des demandeurs d'asile, mais il faudra répondre aux attentes de la Grèce et de l'Espagne, principaux pays d'entrée du flux migratoire.
La crise migratoire continue de crisper les relations entre dirigeants européens, mais de nouvelles figures militantes apparaissent en utilisant les méthodes issues de la désobéissance civile.
L'année 2018 a été plus calme en terme de migration en Europe. Mais la crise au Venezuela déstabilise la région et provoque un mouvement de demandes d'asile dans le monde qui ressemble, en ampleur, à celui provoqué par la guerre en Syrie.