La levée des restrictions suite à la pandémie de Covid-19, les conflits et l'insécurité alimentaire provoquent une nouvelle vague d'immigration qui rappelle celle de 2016. Le conflit en Ukraine a généré le plus grand mouvement de réfugiés en Europe depuis le Seconde guerre mondiale.
Nous étions 2,5 milliards en 1950, la population mondiale a été multipliée par trois depuis. La nécessité de partager les ressources disponibles est urgente, et les modes de consommation doivent évoluer.
La 27ème conférence qui a lieu en Egypte n'est pas terminée, mais de nombreux experts, militants et médias jugent que les promesses ne suffiront pas pour renverser la tendance vers le chaos climatique.
Hausse record de la concentration de méthane dans l'atmosphère en 2021, retard des gouvernements face à l'écologie, feux de forêts partout dans le monde, les Européens jugent sévèrement les Etats qui ne sont pas à la hauteur de l'urgence.
En Europe orientale et en Asie centrale, le conflit ne cesse de provoquer des pénuries et des mouvements de populations. Depuis 2021, ce sont quatre millions d'enfants supplémentaires qui ont été plongés dans la pauvreté.
Les prévisions économiques du Fonds monétaire international (FMI) confirment les doutes de contraction pour un tiers de l'économie mondiale. l'Europe se défendrait mieux, mais les risques liés à la guerre en Ukraine ou l'apparition de nouveaux variants du Covid-19 pourraient faire plonger la croissance à 0,5% l'année prochaine.
Interrompues depuis l'invasion russe en février dernier, ces exportations sont un immense soulagement pour les pays qui en dépendent, et renforcent l'influence de Moscou en Afrique et ailleurs.
Le monde a besoin de pétrole, de gaz et de charbon et les pays du G7 font la promesse de se désengager du charbon d'ici 2035. Mais les mêmes pays riches ne parviennent toujours pas à recycler leurs déchets, qui devraient atteindre des niveaux critiques d'ici quelques décennies.
Une nouvelle vague de Covid pourrait toucher l'Europe dès cet été. Pendant ce temps, les chiffres des cumuls de décès à travers le monde sont affinés et pourraient bien être beaucoup plus élevés que les 15 millions prévus. A elle seule, l'Inde a sous-estimé dix fois le nombre de morts.
L'année s'annonce catastrophique pour l'économie et surtout pour les salariés qui attendent une augmentation de leur pouvoir d'achat. L'écart entre les dividendes versés aux actionnaires des grandes entreprises et les ménages les plus modestes devient intenable.
Le continent est une des principales destinations de la cocaïne, mais l'Europe devient désormais un centre de production et une plaque-tournante du traffic vers d'autres parties du monde.
263 millions, c'est le nombre de personnes dans le monde qui risquent de basculer dans la misère à cause du conflit, du Covid et de la hausse du prix des matières premières. OXFAM demande l'annulation de la dette des pays les plus pauvres.
Longtemps promise lors des campagnes présidentielles, la part du solaire en France, et en Europe, a souffert de la concurrence chinoise. Face à l'urgence énergétique imposée par le conflit en Ukraine, cette filière doit être reconstruite et dynamisée.
« La leçon du Rapport mondial sur le bonheur de ces dernières années est que la solidarité sociale, la générosité entre les gens et l’honnêteté du gouvernement sont cruciales pour le bien-être », a commenté un des coauteurs, Jeffrey Sachs. « Les dirigeants mondiaux devraient en prendre compte », plaide-t-il.
L'épidémie n'est pas terminée et chaque jour, en France, 160 personnes meurent du Covid-19. La situation est pire en Asie et, en Europe, elle est "critique" en Allemagne. Triste anniversaire pour le 11 mars 2020, jour de la reconnaissance de la pandémie.
De la désescalade aux sanctions en moins de 24 heures. Les tentatives diplomatiques de l'Europe ont monopolisé les dernières semaines mais, face aux déclarations de Poutine, le temps des sanctions et est désormais arrivé.
Deux années après l'apparition du Covid, la pandémie freine toujours la croissance mondiale et les programmes de vaccination dans les pays émergents sont toujours en retard. Ce désintérêt de la communauté internationale s'avère délétère alors que l'économie mondiale est vue légèrement à la baisse par le FMI.
Pour contrer la présence de plus en plus menaçante du projet des "Nouvelles routes de la soie" chinoise, et son impact environnemental, social et politique, l'Europe choisit le bon moment pour lancer une initiative en direction des pays pauvres qui ont cruellement besoin d'infrastructures et de développent durable. Un contrat win-win pour les pays en voie de développement, qui ainsi ne seront pas menacés par des emprunts à long terme difficiles à rembourser.