La fin des restrictions sanitaires voit une "épidémie de machisme" qui s'abat sur les femmes en milieu conjugal ou familial. Si le nombre des féminicides a vu une baisse en 2020, c'est surtout parce que les femmes ont été plus isolées et dans l'incapacité de déposer des plaintes pour violence.
La progression du variant Delta concerne plusieurs pays d'Europe et survient alors que les mesures de restriction se lèvent à travers le continent pour la saison estivale. Ce qui pourrait annoncer une nouvelle vague de contaminations à la rentrée. Ne pas reproduire les erreurs de 2020 semble urgent.
La pandémie de Covid-19 a ébranlé la qualité de vie dans les principles villes européennes, très touchées par la crise et les restrictions. A l'inverse, les villes de l'hémisphère sud, moins touchées et mieux organisées contre le virus, voient leur image briller et attirent les touristes.
C'est un premier pas afin d'harmoniser les taux d'imposition dans les pays occidentaux, et de mettre fin à l'impunité des multinationales. Mais une telle décision sera difficilement acceptée à travers le monde, et particulièrement en Asie.
L'immunité collective permet de tester ces rassemblements pour les jeunes, mais ces expériences sont difficilement applicables en France, où très peu de milliéniaux ont accès aux différents vaccins.
La saison des vacances approche et l'irruption du variant indien pourrait être la cause d'une nouvelle vague, surtout dans les pays, comme la France, où la couverture vaccinale prend du retard.
Plusieurs pays, très concernés par l'immigration illégale, ne comptabilisent pas les disparitions d'enfants et d'adolescents et l'échange de données entre les pays de l'UE reste inexistant à ce jour.
La fragilité et parfois la désorganisation des institutions offre de nouvelles opportunités au crime organisé, qui représente une des principales menace pour la sécurité. L'Europe tente de se protéger en attaquant les réseaux criminels, en particulier ceux qui favorisent la traite d'être humains.
A travers l'Europe, des monuments s'élèvent pour commémorer les milliers de décès dus au Covid-19. En France, l'idée reste dans les cartons, retardant un deuil populaire nécessaire.
Seize mois après le début de la pandémie, c'est le moment des premiers records de mortalité. La situation au Brésil est si explosive, avec un décès par minute, qu'elle a déjà des répercutions à travers le monde.
En une année à peine, les droits des femmes ont été nettement réduits, à tel point qu'il faudra attendre 135,6 années pour atteindre la parité à l'échelle mondiale. Pour sortir de cette impasse, l'épidémie pourrait imposer des mesures radicales et attendues, comme un revenu universel égal entre les hommes et les femmes.
L'indépendance industrielle de l'Europe face à la production des vaccins et de leurs composants est un sujet central depuis le début de l'épidémie. Il en va de la capacité du continent à vacciner rapidement sa population, mais aussi de créer des sites sur place qui pourraient prendre en charge de nouveaux vaccins, au cas où de nouveaux variants du virus venaient à apparaître dans les mois à venir.
Pour la première fois depuis 1989, avec l'embargo européen dénonçant la répression du mouvement démocratique de la place Tiananmen, L'Europe fait front avec le Canada et les Etats-Unis pour dénoncer le traitement de la minorité Ouïghour dans le Nord-Ouest de la Chine.
Malgré la crise du Covid, les pays européens qui réussissent sont ceux où le cadre de vie est mis en avant, avec un taux plus faible de corruption, de criminalité et d'inégalités, ce qui favorise l'adhésion aux institutions et aux autorités.
Alors que la pandémie de Covid provoque de nombreux décès, le discours autour de la fin de vie progresse en Europe, mais la France reste incapable de faire évoluer les réformes sociétales pourtant attendues par la population.
Les inégalités entre femmes et hommes, en particulier salariales, ont été accentuées par la pandémie, mais c'est surtout l'influence du mouvement #metoo, contre les féminicides et violences faites aux femmes, qui a marqué cette journée internationale des droits des femmes.
L'anxiété et l'inquiétude face à l'avenir ont eu raison des espoirs de progression de la natalité en période de confinement, et les couples remettent à plus tard leur projet d'enfant.