Alors que la COP24 s’est terminée samedi 15 décembre à Katowice (Pologne) sans véritable réponse , les dirigeants européens sont apparus quelque peu affaiblis dans le débat. Pour faire face à l’urgence climatique, les pays de l’UE tentent pourtant de renforcer leurs actions malgré des rythmes différents.
Même s'il n'a pas encore prouvé son efficacité, l'article 7 des traités est une procédure exceptionnelle qui illustre le malaise européen face à la politique de M. Orban.
Un moratoire réduisait depuis 2013 l'utilisation de trois néonicotinoïdes (clothianidine, imidaclopride, thiaméthoxame). Il s'agit maintenant de les interdire complètement.
Emmanuel Macron a convaincu une majorité de ses partenaires d'organiser des débats démocratiques sur l'avenir de l'Europe. Certains pays ont pourtant renoncé, en raison de la complexité de la procédure de consultation.
Après sa tournée en Europe de l'Est, le chef de l'Etat français a ouvertement fustigé la politique polonaise relative aux travailleurs détachés en Europe, alors que la République tchèque et la Slovaquie, également membres, avec la Hongrie, du groupe de Visegrad, sont prêtes à discuter d'une modification de la directive.
Pour la première fois, Bruxelles est intervenue dans le conflit entre Etats membres sur la répartition des réfugiés au sein de l'Union européenne. Mardi 13 juin, elle a déclenché une procédure d'infraction contre la Hongrie, la Pologne et la République tchèque, qui refusent de se conformer aux règles d'accueil des migrants.
Une ONG a réussi à s'infiltrer dans le principal centre d'Etat hongrois en charge de l'accueil des handicapés mentaux. Son rapport fait état de maltraitances s’apparentant à de la torture
Alors que plusieurs dizaines de milliers de manifestants ont protesté à Budapest dimanche dernier, le président hongrois a promulgué, le lendemain, une loi controversée, dirigée contre une université financée par le milliardaire George Soros. Retour sur les raisons de la colère.
Alors que le premier ministre hongrois, Viktor Orban, vient d'annoncer la fin prochaine de la construction d'une nouvelle clôture anti-migrants, son pays est accusé par l'ONG Médecins sans frontières de brutaliser les migrants à la frontière.
Soupçonnant que certains produits alimentaires de grande consommation soient moins bons dans leur pays qu'ailleurs, plusieurs pays de l'Est de l'Union européenne demandent à Bruxelles de réagir.
La Hongrie prise entre deux feux. Le pays doit faire face à la montée en puissance du Jobbik auto-proclamé "parti radical le plus populaire" en Europe. De l'autre côté, le Fidesz, parti au pouvoir, n'hésite pas à reprendre les idées les plus extrémistes de son concurrent politique.
Très active durant les premières années du mandat de Viktor Orbán, la société civile hongroise s'est aujourd'hui endormie. La réélection, le 6 avril, du premier ministre conservateur semble avoir entériné sa défaite. Anna, Veronika et Péter, trois jeunes (ex)-activistes, expliquent l'effondrement de l'opposition citoyenne.
Le premier ministre Viktor Orbán est sorti vainqueur des élections législatives en Hongrie. MyEurop est allé à la rencontre d'une jeunesse hongroise qui espérait tourner la page, en votant pour la coalition anti-Orbán ou pour le jeune parti écolo, voire pour l'extrême droite du Jobbik.