L'Europe veut se protéger d'un afflux massif, pour des raisons de sécurité, mais se trouve dans une situation éthique complexe car les réfugiés russes qui refusent de participer à la guerre et devraient être accueillis, tout comme les réfugiés ukrainiens.
Confronté à un conflit qui s'enlise et à une riposte ukrainienne qui gagne du terrain, Vladimir Poutine passe de "l'opération militaire spéciale" à une mobilisation, certes "partielle" de 300.000 citoyens.