Avec 196 pays et plus de 120 chefs d'Etat présents à la COP26 de Glasgow, L'Europe n'est pas parvenue à prendre le leadership d'une lutte contre le réchauffement climatique qui s'annonce de 2,7% pour la fin du siècle.
La pandémie de Covid-19 a ébranlé la qualité de vie dans les principles villes européennes, très touchées par la crise et les restrictions. A l'inverse, les villes de l'hémisphère sud, moins touchées et mieux organisées contre le virus, voient leur image briller et attirent les touristes.
Encore une année très chaude qui a marqué les esprits. Et la pandémie de Covid, qui fragilise les économies, n'encourage pas des programmes audacieux de réduction des effets de gaz de serre. La "révolution verte" n'est toujours pas à l'ordre du jour.
Pari tenu pour Greta Thunberg : plus de 5000 événements étaient prévus sur toute la planète, mais la participation a été décevante à Paris, sur fond de tensions policières.
Malgré l'incertitude économique qui commence à poindre sur le vieux continent, le tourisme ne cesse de progresser et l'Europe reste toujours la première destination au monde.
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