La population européenne est une mosaïque de populations et d'ethnies diverses. Les élections prochaines soulèvent le retard des institutions afin de favoriser une plus grande pluralité ethnique, culturelle et sociale.
Les pays émergeants, poussés par leur dynamisme économique, caracolent en tête de l'optimisme. Les pays européens sombrent dans un pessimisme teinté de passéisme.
Les jeunes Français baignent dans la musique anglo-saxonne, mais accusent toujours un retard : 75% des collégiens de fin de troisième sont incapables de s'exprimer correctement en anglais.
Malgré les promesses des chefs d'Etat, aucun consensus n'a pu être dégagé sur le réchauffement climatique, à part un report de la discussion au prochain sommet.
En produisant des séries européennes comme Casa de Papel, Netflix entretient la fidélité de ses abonnés, surtout chez les jeunes qui abandonnent progressivement la télé traditionnelle.
L'anglais est la langue internationale des affaires et du commerce, celle de la recherche et de la technologie. Et la France fait toujours partie du peloton de queue.
Que ce soit dans le domaine du logement, des transports ou de l'alimentation, les jeunes salariés anglais payent très cher leur entrée dans le monde du travail.
Il y a vingt ans le changement climatique était une notion abstraite. La répétition des dérèglements météorologiques européens et mondiaux confirme les alarmes écologiques.
La mesure est impopulaire, mais la France se trouve désormais dans le peloton de tête des pays qui désirent voir le nombre de morts sur les routes diminuer - et il faudra s'y faire.