L’Irlande, l’Angleterre, la République tchèque ou la Grèce ont reconfiné leur population comme la France. Ailleurs, les restrictions prennent surtout la forme de couvre-feux et, à l’exception de la Suède, de fermeture des bars-restaurants.
Dans les semaines à venir, le Royaume-Uni devrait quitter l’UE sur les bases du dernier accord avec l’Europe. Mais le Royaume est menacé à terme de désintégration : l’Ecosse pro-européenne a une nouvelle raison de prendre son indépendance et l’Irlande du nord de rejoindre la république.
A l’heure où les relations privilégiées entre l’Etat et la religion dominante font débat en Grèce et en Pologne, la laïcité à la française fait figure d’exception. Plusieurs pays affichent une religion d’Etat et de nombreux autres sont en régime de concordat.
Le refus du président italien Sergio Mattarella de nommer un ministre des finances eurosceptique a montré qu’il disposait de pouvoirs constitutionnels effectifs. Dans toute l’Europe, à des degrés divers, les chefs d’Etat ont une certaine capacité d’action.
Effet Macron ou pas ? Les investissements étrangers en France ont fortement progressé en 2017 tandis qu’ils délaissent le Royaume-Uni à cause du Brexit. Jusque-là, l’Hexagone était moyennement attractif en Europe, tout comme l’Allemagne.
Après de longs mois de négociations infructueuses, les autorités britanniques et européennes sont parvenues à un accord sur les conditions de la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. La plupart des dirigeants européens ont exprimé leur soulagement.
La chance a souri à Paris, lundi soir, la capitale française s'étant vue attribuer le futur siège de l'Autorité bancaire européenne (EBA), qui devra quitter Londres une fois le Brexit entré en vigueur.
L’ouverture des commerces le dimanche continue de faire débat en France deux ans après la loi qui desserre l’encadrement de cette pratique. Dans toute l’Europe, les restrictions diminuent, surtout dans les pays du sud.
Une étude révèle que les banques de l'Union européenne déclarent un quart de leurs bénéfices dans des paradis fiscaux. Des résultats qui « dépassent l'entendement », selon l'ONG Oxfam.
Si la Pologne vient d'enterrer un très controversé projet d'interdiction de l'IVG, elle n'est pourtant pas le seul pays européen à limiter, voire interdire l'avortement.
A la veille de la première visite de Theresa May, la nouvelle Première ministre britannique, les Irlandais redoutent les conséquences du Brexit sur la libre circulation en place entre la République d'Irlande et l'Irlande du Nord.
Loin de se réjouir, les partisans du Brexit ont le blues. L’avenir des relations avec l’Union est totalement flou et aucune option sur la table ne paraît satisfaisante. L’Europe a l’habitude de contourner les référendums négatifs et beaucoup pensent que rien n’est encore joué pour Londres.
Londres, plus grande ville d’Europe, vient d’élire un maire musulman. C’est une première pour une capitale mais, en Europe, la plupart des dirigeants de métropoles ont un parcours original et mènent des politiques audacieuses, conformes aux souhaits d’un électorat d’avant-garde.
En remboursant à 100% tous les soins concernant l’IVG, l’Hexagone offre à ses citoyennes une excellente prise en charge. Dans la plupart des pays européens, la situation des femmes désireuses d’interrompre leur grossesse est moins favorable.
Le bilan démographique de l’INSEE 2015 montre que l’accroissement naturel de la population française reste le plus élevé d’Europe. Mais l’immigration permet à des pays comme l’Allemagne ou le Royaume-Uni d’accroître davantage leur population. Et de façon plus efficace sur le plan économique.