Depuis vendredi dernier, la crise de la dette menace de se propager à l'Italie. La presse transalpine dénonce des attaques spéculatives injustes mais pointe surtout la responsabilité des dirigeants politiques, Silvio Berlusconi en tête, qui a perdu toute crédibilité. Comble de l’humiliation, le gouvernement semble attendre un coup de téléphone d’Angela Merkel pour savoir quoi faire.
Un an après la crise financière grecque, la nouvelle architecture de la zone euro prend forme, petit à petit. Les dirigeants européens ont notamment validé un "mécanisme permanent de stabilité". Il permettra de voler au secours des pays ne parvenant plus à emprunter à des taux raisonnables sur les marchés.
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