En Grèce, la lutte armée entre extrême droite et extrême gauche ne date pas d'hier. Et l'assassinat de deux militants d'Aube Dorée, en représailles à celui du rappeur Pavlos Fyssas, n'est pas le prélude à une guerre civile, contrairement à ce que laisse entendre le gouvernement relayé par la presse. Analyse.
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