« La leçon du Rapport mondial sur le bonheur de ces dernières années est que la solidarité sociale, la générosité entre les gens et l’honnêteté du gouvernement sont cruciales pour le bien-être », a commenté un des coauteurs, Jeffrey Sachs. « Les dirigeants mondiaux devraient en prendre compte », plaide-t-il.
Malgré la crise du Covid, les pays européens qui réussissent sont ceux où le cadre de vie est mis en avant, avec un taux plus faible de corruption, de criminalité et d'inégalités, ce qui favorise l'adhésion aux institutions et aux autorités.
Malgré l'inquiétude sociale et politique, les projections économiques incertaines et les mouvements protestataires, une nouvelle étude surprend car une grande partie de la population européenne se dit plus confiante qu'il y a cinq ans.
Contrairement à certains pays comme le Royaume-Uni et les Etats-Unis où les cas de dépression et de suicides sont en augmentation chez les jeunes, les Pays-Bas bénéficient d'un système éducatif qui rend les jeunes heureux.
L'Europe, serait la championne du "Bonheur National Brut" si l'on en croit l'OCDE. Elle a mis en place un "indicateur du vivre mieux". Il permet de mesurer le bien-être dans chaque pays. Mais la France est loin derrière les pays sacndinaves.
Les salariés européens sont heureux au travail. Mais la peur du chômage les obligent à en faire trop et la frontière entre vie privée et vie professionnelle est de plus en plus floue.
La NEF a classé les pays du monde pour déterminer lequel est le plus heureux et le plus apte à faire le bonheur des générations futures. Le rapport indique que, dans sa globalité, la planète n'est pas très heureuse. Une conclusion tout de même contestable vu les méthodes d'évaluation utilisées !
Moins pessimistes que l’ensemble de leurs compatriotes, les "happy fews" allemands, britanniques, françaiss ou russes estiment dans leur grande majorité avoir réussi leur vie.
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