Le Carnaval de Patras bat son plein. Merkel, Sarkozy, Papandréou et le gouvernement sont les rois de la fête et de la dérision. C'est le moment où l'on peut "dire franchement tout ce que l’on pense". Sans limites. La virulence des caricatures témoigne de la désespérance des Grecs.
L'austérité est à la fête, pas le Carnaval. Le premier ministre a décidé de sucrer le jour férié traditionnellement accordé aux fonctionnaires pour les réjouissances du Mardi gras. Le pays est fauché comme les blés et les Portugais ont l'impression d'être roulés dans la farine, alors que quatre autres jours fériés sont en passe d'être supprimés.
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