Alors que les relations avec la Turquie continuent de se détériorer, le Président français exprime l'inquiétude provoquée par le retrait des troupes américaines, et le manque de coordination qui a accompagné la décision au sein de l'Otan.
Il faudra encore beaucoup d’opérations militaires de terrain, d’action idéologique ainsi qu’une vraie politique de développement économique et social dans la région pour débarrasser le Moyen-Orient des extrémistes. A cet égard, l’allié incontournable de l’Occident est à l’évidence l’Arabie saoudite.
L’affirmation de la doctrine Trump et la mise en quarantaine du Qatar remettent d’actualité la question des relations entre la France et l’Arabie Saoudite. Or ces derniers développements sont de nature à dissiper les doutes et militent pour une intensification de la coopération avec la première nation du Moyen-Orient.
Au lendemain de l'attaque djihadiste qui a fait au moins 22 morts et une soixantaine de blessés, lors d'un concert à Manchester, la première ministre britannique a annoncé que l'état d'alerte terroriste était relevé à son niveau maximal. L'enquête n'en est à qu'à ses débuts.
Lundi 1er mai, le département d'Etat américain a mis à jour sa page Internet concernant l'Europe. Il avertit les citoyens américains que le risque d'attentats reste élevé.
Après la France, la Belgique semblait une cible logique du terrorisme islamiste. Suivant le nombre de leur « djihadistes », des réfugiés qu’ils accueillent ou de l’intensité de leur engagement en Syrie-Irak, d’autres pays peuvent se faire du souci.
Réservations annulées, magasins désertés, les attentats de Paris vont-ils porter un coup à la reprise en France et en Europe ? L’histoire nous enseigne que le risque est faible. Quant aux dépenses de sécurité annoncées, elles pourraient avoir un effet stimulant.
Prolongation de l’état d’urgence, déchéance de nationalité, 5000 poste de policiers… Après les attentats de Paris, le Président de la République met l’accent sur la repression. Partout en Europe, les défenseurs des libertés civiles s’inquiétent.
L'auteur présumé des fusillades de Copenhague sortait de prison. Cela pose une nouvelle fois la question du risque de radicalisation en prison et des conditions de détention.