Le 28 septembre 2000, le Danemark décidait de ne pas adopter l'euro. Brillante idée, selon certains économistes danois. A Copenhague on estime, par ailleurs, que la France et l'Allemagne ont leur part de responsabilité dans la crise.
Le Portugal vient de recevoir "un coup de poing à l’estomac". L’expression est du Premier ministre portugais, choqué comme l’ensemble de ses concitoyens par l’annonce de la nouvelle dégradation de la note de la dette souveraine du Portugal par l’agence américaine Moody’s.
Pour Norbert Gaillard*, consultant à la Banque mondiale, seule une européanisation de sa dette peut encore sauver la Grèce, aujourd'hui en grève générale, du défaut de paiement. Il nous révèle également la faiblesse des moyens mis en œuvre par les agences de notation omnipotentes. Un seul analyste décide de l'avenir d'un pays!
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