Les "employées de maison" travaillaient très officiellement sans contrat de travail écrit en Espagne. C'est désormais interdit depuis le 1er janvier. Une révolution dans un pays où l'emploi de "bonnes", généralement immigrées, reste monnaie courante malgré la crise. Témoignage de Fátima.
Elles sont Philippines, Roumaines, Ukrainiennes ou Latino-Américaines. Ce sont les "badantes", des "bonnes à tout faire" travaillant pour un salaire dérisoire, au mieux déclarées à mi-temps. Elles seraient un million et demi en Italie. Témoignages.
Deuxième volet de notre série sur l'exploitation économique des êtres humains.
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