Mercredi 23 et jeudi 24 août, Emmanuel Macron était en Autriche et en Roumanie pour évoquer la révision de la directive européenne sur les travailleurs détachés, et tenter de faire infléchir les pays de l'Est, traditionnellement opposés à toute évolution.
Alors que doit se tenir, le 15 juin prochain, un conseil des ministres des Affaires sociales, le gouvernement français souhaite aller plus loin que le projet de révision de la directive sur le travail détaché présenté par la Commission. Problème : les pays de l'Est, principaux bénéficiaires de la disposition, sont réfractaires à toute modification.
Après l'aéroport de Toulouse et le Club Med, Pirelli, champion italien des pneumatiques, vient de passer à son tour sous pavillon chinois. La Chine va-t-elle racheter l'Europe ?
L’état d’urgence dans les hôpitaux slovaques vient d'être levé. Les 1200 médecins qui avaient démissionné ont obtenu une importante réévaluation de leurs salaires qui atteignait, au mieux, 600 euros pour un jeune médecin. Leurs collègues hongrois menacent, à leur tour, de poser le stéthoscope ou le bistouri.
En dénonçant un contrat pour la construction d’une autoroute confiée à une entreprise chinoise, le gouvernement polonais a relancé la polémique sur le dumping économique et social pratiqué par les sociétés de l’Empire du milieu pour conquérir le marché européen.
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