La bataille pour l'élection du président de la Commission européenne entre les eurodéputés et les institutions européennes frise l'indécence au lendemain de la gifle électorale. L'Union va droit dans le mur sans réforme en profondeur de son fonctionnement.
Sans surprise les partis populistes ont marqué le scrutin européen. Si la France consacre le FN et le Royaume-Uni l'UKIP, la Grèce, elle, se tourne vers la gauche radicale. Quant aux Allemands et aux Italiens, ils expriment leur confiance aux partis qui gouvernent.
Cela fait plus de dix ans que l'extrême-droite a le vent en poupe au Danemark. Portées par le Parti du peuple danois, les idées xénophobes infiltrent l'ensemble de la société.
10% des membres du futur Parlement européen devraient appartenir à une formation qualifiée de "populiste". Un danger pour l'avenir de l'Union européenne. A la veille des élections, Myeurop en partenariat avec Citizens for Europe a enquêté dans huit pays pour comprendre la stratégie d'implantation de ces partis et celle des partis traditionnels pour les contrer. Cette semaine Myeurop vous propose deux reportages chaque jour.
Le gouvernement grec rouvre en catimini un ersatz de télé publique. Récit d'une farce télévisuelle à la veille des élections législatives et européennes dans un PAG (Paysage audiovisuel grec) en pleine déliquescence.
À un mois et demi des élections européennes, les institutions et partis italiens se mobilisent pour freiner la marche triomphale des forces anti-euro et anti-européens, qui recueilleraient près d'un tiers des voix, selon les derniers sondages.. Une bataille à coup de castings parfois détonants...
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