Le monde a besoin de pétrole, de gaz et de charbon et les pays du G7 font la promesse de se désengager du charbon d'ici 2035. Mais les mêmes pays riches ne parviennent toujours pas à recycler leurs déchets, qui devraient atteindre des niveaux critiques d'ici quelques décennies.
Avec 196 pays et plus de 120 chefs d'Etat présents à la COP26 de Glasgow, L'Europe n'est pas parvenue à prendre le leadership d'une lutte contre le réchauffement climatique qui s'annonce de 2,7% pour la fin du siècle.
Il s'agit désormais de sortir des intentions politiques européennes pour changer réellement de système tout en aidant les citoyens, de manière à ce qu'ils ne soient pas les premiers à payer le coût du changement climatique. L'Europe doit soutenir aussi les peuples les plus affectés par la mauvaise gouvernance de leurs dirigeants.
Ce tournant politique répond aux demandes des mouvements écologistes, notamment ceux menés par les jeunes. Selon un récent euro-baromètre, le changement climatique est passé devant le terrorisme en termes de préoccupation des jeunes Européens.
Le modèle énergétique français se caractérise par son ambition et ses efforts pour une production « décarbonée ». Pourtant, faute de financements, d’une vision transversale et à cause de mesures contreproductives, le pays pourrait ne pas atteindre ses objectifs de dévalement durable.
C'est inédit: l'éolien est devenu la première source d'électricité des Espagnols. Ailleurs en Europe, le wind power reste minoritaire et critiqué, mais il gagne du terrain.
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