La mobilisation des électeurs européens a limité à une trentaine les élus supplémentaires des courants nationalistes et eurosceptiques. Les libéraux, qui gagnent 40 élus, pourraient jouer un rôle pivot dans l’équilibre des forces politiques du Parlement. Les Verts aussi.
Le système des « têtes de listes » (« Spitzenkandidaten ») mis au point en 2014 a peu de chance de fonctionner. Les Etats-membres veulent pouvoir négocier un compromis sur le président de la Commission. De plus, les deux principaux groupes politiques ne dominent plus le Parlement, rendant difficile une coalition majoritaire.
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