Les industriels français et allemands de l'énergie ont bien du mal à digérer la sortie du nucléaire. Alors qu'Areva et et le géant Eon annoncent des pertes et des milliers de suppressions d'emplois, Angela Merkel assure que l'abandon accéléré de l'atome créera plus d'emplois qu'il n'en détruira.
Le numéro un allemand de l'énergie EON a décidé de saisir la Cour constitutionnelle pour contester la loi sur la sortie du nucléaire d'ici à 2022. Le groupe réclame des compensations financières en échange d'une réduction de la durée de vie des centrales qu'il exploite.
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