Très mauvaise nouvelle pour l'Europe avec la monnaie unique qui peine à atteindre la parité avec le dollar. Cette situation pourrait favoriser l'économie américaine au dépend de celle du Vieux continent.
La tenue de l'Euro sera sûrement un jalon épidémiologique dans la reprise de l'épidémie au Royaume-Uni, et en Europe aussi, où d'autres matches ont eu lieu. La reprise économique, tant attendue, pourrait être menacée à la fin des vacances.
Il n'existe pas de plan B pour les finales qui se tiendront à Wembley en juillet. Or, la progression du variant Delta risque d'augmenter fortement durant l'été, probablement auprès des jeunes non vaccinés, ce qui pourrait provoquer une nouvelle vague européenne à le rentrée.
Le parti d'extrême droite se réunissait les 21 et 22 juillet derniers pour évoquer sa "refondation" et mettre aux voix les sujets phares de l'appareil frontiste. Si la sortie de l'euro a été largement évoquée, elle a été reléguée en fin de quinquennat, cédant sa place à des sujets plus consensuels comme la dénonciation de l'immigration.
L'ancien chancelier allemand, décédé vendredi 16 juin à 87 ans, restera dans les mémoires comme l'homme de la réunification allemande et de la construction européenne.
L'immigration, un thème de campagne électoraliste? Pas outre-Rhin. Si le parti néo-nazi entretient un discours xénophobe, l'ouverture des frontières séduit une majorité d'Allemands. Des arguments économiques et démographiques qui pourraient ouvrir la voie d'un multiculturalisme apaisé.
La Norvège vient d'être sacrée par la Banque mondiale pays le plus riche au monde en produit intérieur brut (PIB) par habitant. La France pointe seulement à la quinzième place.
La Lettonie devrait être en janvier prochain le 18ème pays à adopter l'euro, trois ans après une autre République balte l'Estonie. Bruxelles donne son feu vert demain. Problème: une majorité de Lettons se refuse à abandonner la monnaie nationale.
Le footballeur anglais John Terry est accusé d'avoir proféré des insultes racistes à l'encontre d'Anton Ferdinand lors d'un match de championnat. Son procés s'est ouvert aujourd'hui. Malgré les mesures mises en place pour contrer ce fléau, le racisme gangrène toujours les stades d'Europe.
Grand vainqueur de l'Euro 2012, le foot espagnol fait la fête. Mais gare à la gueule de bois, la situation financière des clubs espagnols est plus que préoccupante. Leur dette atteint 3,5 milliards d'euros.
L'accord conclu cette nuit au Conseil européen a rassuré les marchés. En arrachant à l'Allemagne des concessions, l'Italie et l'Espagne ont montré qu'un bloc du sud pouvait faire prévaloir ses vues. François Hollande, qui a pu faire avaliser son pacte de croissance, parait avoir choisi une stratégie payante en évitant le face à face avec Merkel.
Le leader du parti conservateur Nouvelle démocratie, Andonis Samaras, a finalement réussi à former un gouvernement avec le PASOK et la Gauche Démocratique. Un mariage gouvernemental par nécessité négocié par les leaders de ces trois formations que tout oppose, sauf de vouloir rester dans la zone euro. Portraits des protagonistes.
Les Grecs ont eu peur de l’inconnu. Les conservateurs de la Nouvelle Démocratie sont arrivés en tête des législatives de dimanche. Les trois partis acceptant le plan d’austérité de l’UE et du FMI devraient former très rapidement une coalition. Cette majorité pour sauver le pays de la déroute reste néanmoins fragile.
Le candidat du Front de Gauche a pris exemple sur son camarade Oskar Lafontaine, lui aussi en rupture de ban de la gauche allemande. Mais l'eurodéputé Mélenchon n'a que mépris pour l'Europe de Bruxelles et se fait fort de remporter la "bataille d’opinion européenne" pour contrecarrer l’ultralibéralisme et le monétarisme dominant.
L’Islande veut changer de monnaie, et s’interroge sur l’opportunité de choisir le dollar canadien plutôt que l’euro. Dilemme monétaire pour sortir l’économie islandaise de l’ornière, alors que s’ouvre aujourd’hui le procès de l’ex-premier ministre Geir Haarde, présumé responsable de la crise bancaire de 2008. Repéré surLaPresse.ca
L’Organisation internationale du travail affirme que la politique allemande de modération salariale mise en oeuvre depuis 2003 est "la cause structurelle" de la crise de la zone euro. La charge de l'OIT parait excessive. Elle est néanmoins instructive au moment où Nicolas Sarkozy veut baisser le coût du travail.
Les autorités anglaises anticipent l'effondrement du système bancaire en Espagne et au Portugal, qui laisserait sans le sous et sans maison de milliers de Britanniques, incapables de rentrer au pays. Un plan d'urgence pour leur porter secours est prévu.