Les bonnes nouvelles de l'inflation américaine ne concernent pas l'Europe, bien trop proche du conflit en Ukraine, et qui doit traverser un hiver qui n'a pas encore commencé. Les fêtes de fin d'année devraient pâtir de la baisse du pouvoir d'achat.
Les négociations ont été longues, mais l'Union européenne a donné son accord pour l'ouverture de nouveaux pourparlers afin d'intégrer les deux pays, au lendemain de la signature d'un protocole entre Skopje et Sofia levant les derniers obstacles. Le processus devrait prendre des années avant son avènement.
263 millions, c'est le nombre de personnes dans le monde qui risquent de basculer dans la misère à cause du conflit, du Covid et de la hausse du prix des matières premières. OXFAM demande l'annulation de la dette des pays les plus pauvres.
Emmanuel Macron a accueilli les Vingt-Sept afin de faire un front commun face à Moscou et pour faire avancer l'idée d'une force militaire européenne. Mais l'Europe n'est pas encore prête pour un embargo immédiat des importations d'hydrocarbures russes.
L'arrivée de l'Ukraine au sein de l'Union européenne est surtout une demande politique et symbolique alors que le pays voit les troupes soviétiques progresser sur le terrain. Les institutions européennes veulent avant tout réaffirmer leur solidarité vis-à-vis de leur voisin ainsi que la vocation européenne de l'Ukraine.
La très grande majorité des réfugiés Ukrainiens veulent rester dans les pays voisins. L'Europe se prépare à un déplacement massif de population, mais la Pologne impose un tri sélectif parmi les nouveaux arrivants.
Les sanctions étaient prévues de longue date par les occidentaux et par l'Europe, mais la première vague de mesures a créé un doute sur leur efficacité à court terme. Les images du conflit forcent les alliés de l'Ukraine à déployer des moyens plus concrets afin d'aider la résistance ukrainienne et l'accueil des réfugiés.
Jusqu'où Poutine peut-il aller trop loin ? Si le président russe, par la voix de son ministre de l’énergie, évoque les "forts risques" qui pèsent sur les livraisons de gaz à l'Europe, il a plus a perdre qu'à y gagner. Voici pourquoi, chiffres et graphiques à l'appui.
Newsletter
Inscrivez-vous pour recevoir directement nos articles par mail.