Quasiment tous les pays de l’Union ont félicité le nouveau président américain élu. Mais avec des nuances qui reflètent les bonnes ou mauvaises relations de leur gouvernement avec Donald Trump. Des pays comme l’Allemagne ou la France ont beaucoup à gagner avec la nouvelle administration.
L'Iran menace de poursuivre son désengagement de l'accord nucléaire de 2015 si les pays européens ne s'engagent pas davantage pour garantir ses exportations de pétrole.
Alors que l'Iran s'embrase à nouveau, des membres de l'opposition au régime ont manifesté dans plusieurs capitales européennes. De son côté, l'Union européenne appelle à éviter la violence et assure suivre la situation de près.
Il faudra encore beaucoup d’opérations militaires de terrain, d’action idéologique ainsi qu’une vraie politique de développement économique et social dans la région pour débarrasser le Moyen-Orient des extrémistes. A cet égard, l’allié incontournable de l’Occident est à l’évidence l’Arabie saoudite.
L'Iran fait plus que jamais partie des "Etats infréquentables" pour les Etats-Unis, qui viennent de prendre de nouvelles sanctions économiques à son encontre. Mais celles-ci ne doivent pas décourager les Européens, banques comme entreprises, d'investir dans l'économie iranienne ou de nouer des partenariats avec des groupes locaux.
Jusqu'où Poutine peut-il aller trop loin ? Si le président russe, par la voix de son ministre de l’énergie, évoque les "forts risques" qui pèsent sur les livraisons de gaz à l'Europe, il a plus a perdre qu'à y gagner. Voici pourquoi, chiffres et graphiques à l'appui.
La guerre du gaz est déclarée. La société russe Gazprom, décide de couper le gaz à l'Ukraine tant qu'elle ne paiera pas ses dettes. Une décision lourde de conséquences pour tous les Européens.
Quelles seraient les conséquences pour les pays de l'Union européenne si les Russes relançaient la guerre du gaz ? Les Européens envisagent tous les scénarios, même le pire. Mais ils n'ont pas encore de politique énergétique commune. C'est là que le bât blesse.