Face à la rébellion de l’aile droite eurosceptique de son parti, David Cameron, mis en porte à faux par Nicolas Sarkozy et une opinion publique de plus en plus hostile à l'Europe, a été, une fois n'est pas coutume, contraint de plaider pour la solidarité européenne.
Crise de l’Euro, guerre en Libye, sortie du nucléaire… Les positions d’Angela Merkel sur ces dossiers ont isolé Berlin et rendu sa politique étrangère inaudible et effacé l'Allemagne de la scène internationale et européenne, affirme l'ensemble de la presse allemande au lendemain du G8 de Deauville.
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