Le président catalan, Carles Puigdemont, a déclaré l'indépendance de la région espagnole hier soir. Le gouvernement de Mariano Rajoy a immédiatement décidé de placer la Catalogne sous tutelle
Alors que le chef du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, va comparaître en tant que témoin dans un procès pour corruption, une opération menée cette semaine à Madrid a conduit à une douzaine de nouvelles arrestations.
Après deux élections législatives et dix mois de paralysie, l'Espagne va pouvoir se doter d'un gouvernement. Mais celui-ci, minoritaire, devra composer avec un Parlement hostile et fragmenté.
La montée des partis anti-système en Espagne rend peu vraisemblable le maintien au pouvoir d’un gouvernement conservateur. Si les socialistes et Podemos parvenaient à former une coalition, la gauche serait nettement majoritaire dans l’Union européenne.
L'impopularité de François Hollande atteint des sommets. Les autres dirigeants européens profitent, au contraire, d'une embellie. Cette chute à contretemps réduit d'autant la crédibilité de la France sur la scène internationale.
Le chômage en Espagne chute de 2,3% en mai avec 111.916 demandeurs d'emploi en moins. Un résultat dû à la période estivale mais également aux mesures pour favoriser l'emploi.
La France devrait passer de 22 à 14 régions à l'horizon 2020. Pour nos voisins européens le millefeuille territorial est, lui aussi, lourd à digérer mais ils commencent eux aussi à l'alléger.
Juan Carlos abdique. Après 38 ans de règne le roi d'Espagne transmet sa couronne à son fils, le prince Felipe. Scandales, corruption et limites d'âge font tomber les têtes couronnées européennes ces derniers temps...
En Espagne, les artistes se mobilisent contre la réforme du gouvernement Rajoy sur l'IVG. Poupées gonflables devant le ministère de la Justice ou encore fausse vidéo pour un voyage express à Londres. Tous les détournements sont bons pour protester.
Entre amour et répulsion, les dirigeants européens ne parlent décidément pas la même langue européenne. Si François Hollande veut "sortir l'Europe de sa langueur", Angela Merkel veut en "assurer la prospérité". Florilège des déclarations de nos leaders européens.
Comme Nicolas Sarkozy en son temps, Mariano Rajoy va nommer le president de l'audiovisuel public. La privatisation des chaînes régionales est également au programme. Entre indignations et interrogations, les critiques fusent.
Nicolas Sarkozy et François Hollande ont, tour à tour, pris l'Espagne comme exemple à ne pas suivre. Trop c'est trop pour Mariano Rajoy et la presse espagnole. Madrid invite les candidats aux présidentielles à changer de disque.
Annoncée en plein lundi de Pâques, la nouvelle coupe budgétaire de 10 milliards d’euros par le gouvernement Rajoy a surpris les Espagnols. La santé et de l’éducation sont touchées de plein fouet.
Les deux syndicats majoritaires en Espagne ne sont pas les seuls à avoir appelé à la grève générale. Chômeurs, retraités et étudiants précarisés sont, eux-aussi, dans la rue pour une grève sociale alternative. Un tour de chauffe à l'approche du 15 Mai, anniversaire de la naissance du mouvement des Indignés. Reportage dans les rues de Barcelone.
Contrairement à l'Italie de Mario Monti, 3ème puissance économique de la zone euro, l'Espagne n'a pas vraiment voix au chapitre. Le nouveau premier ministre Mariano Rajoy promet de replacer l’Espagne en "première division" de la zone Euro et de peser sur les décisions à venir. Avec quels moyens? Et quels alliés?
La corruption et les Indignés, grands oubliés du seul débat de la campagne législative, centré sur l'emploi. L'Espagne pourrait retomber en récession à la fin de l'année.
Corruption, prévarication, rivalités… La justice espagnole a fort à faire en ce moment. Au-delà des scandales, la démocratie espagnole doit faire face ses vieux démons : la corruption et la dictature franquiste.
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