Contrastant avec l’image d’Epinal d’un pays où il fait bon vivre, les répercussions de la crise européenne frappent les catégories sociales les plus faibles. L’économie des Pays-Bas ralentit plus vite que les prévisions les plus pessimistes. Et le moral des Néerlandais est au plus bas. Dans ce contexte le nouveau gouvernement ne bénéficiera d'aucun état de grâce.
Français, Allemands, Espagnols et Polonais estiment que leurs dirigeants sont incapables de prendre les bonnes décisions pour surmonter la crise économique. Seuls les Anglais accordent encore un semblant de crédit à David Cameron. La porte ouverte à la montée des extrémismes?
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