Communiste dans l'âme, Grigoris est pourtant décidé: son prochain vote ira à Aube dorée, le parti néo-nazi entré au Parlement grec l'année dernière. Un choix qu'il dit dicté par la situation du pays et nécessaire pour punir la classe politique. Premier volet de notre série de portraits d'Européens votant pour la première fois à l'extrême droite.
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