En quête de légitimité en vue des présidentielles, Emmanuel Macron risque de se trouver face à une multitude de défis : mener une campagne qui s'annonce complexe, nouer de nouveaux liens avec l'Allemagne qui dispose d'un nouveau chancelier, s'imposer face à une Europe en crise, tout ceci face à un futur proche difficile à prévoir, pour cause de crise sanitaire.
L'Estonie, qui a pris le 1er juillet dernier la présidence tournante de l'Union européenne pour six mois, devrait profiter de son mandat pour engager Bruxelles sur les rails du numérique, sans faire toutefois abstraction des questions sensibles, comme la cybersécurité par exemple.
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