Au nom d’une « Europe du bon sens », le leader de l’extrême droite italienne lance un nouveau groupe visant à unifier les forces national-populistes du Parlement européen. Mais, compte tenu des divergences, il ne pourra rassembler tous les partis. Un non-Brexit compliquerait encore les choses.
La perspective d’un divorce chaotique d’avec le Royaume-Uni a refroidi les velléïtés des populistes de rompre avec l’Union. Désormais influents, ils choisissent plutôt de changer l’Europe de l’intérieur. Avec le soutien de plus en plus fréquent de la droite classique.
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