Le scandale Facebook jette un doute sur la protection des usagers des réseaux sociaux. Leur audience pourrait s’en ressentir. Notamment en France où elle est déjà la plus faible d’Europe et où l’usage global de l’internet est moins développé qu’ailleurs.
Si le transfert du Brésilien Neymar au PSG, qui n'est plus qu'une question d'heures, fait autant parler, c'est en raison de son prix. Le club français va débourser 222 millions d'euros, et sans doute plus, pour s'attacher les services de l'attaquant en provenance du FC Barcelone. Sur le terrain comme sur Internet.
En 2011 et 2012 le parti allemand des Pirates multipliait les succès électoraux, notamment à Berlin et en Sarre. Après cette entrée en fanfare sur la scène politique régionale, le soufflé est retombé. La prise à l'abordage du Bundestag dimanche prochain est compromise. Rencontre avec ses militants.
Les réseaux sociaux et Internet ne sont pas déterminants pour gagner une élection en Allemagne. Nos voisins restent davantage sensibles aux médias traditionnels: duel TV, affiches, etc. Un constat à prendre en compte pour affiner sa stratégie de communication… tout en évitant les bourdes!
Dans un panorama médiatique morose, lancer un média en Espagne est une gageure. La radio madrilène OndaCRO, créée en novembre dernier, a tenté le pari. Son crédo? Elle est entièrement dédiée aux réseaux sociaux. Et veut véhiculer un message d'optimisme. Rencontre.
Les réseaux sociaux inquiéteraient-ils l'Europe? D'après plusieurs études, ils distraient les salariés de leur travail et seraient ainsi responsables de pertes faramineuses pour les économies des États. Pourtant, de plus en plus d'entreprises y ont recours.
BEST OF DE L'ÉTÉ @policia: attention, vous êtes suivis! Près de 525.000 personnes sont abonnées au fil Twitter de la police espagnole. Myeurop a rencontré l'homme qui alimente cette popularité: Carlos Fernández Guerra dévoile son itinéraire de 'tweet-star' au service de l'uniforme.
Une simple invitation à une fête d'anniversaire sur Facebook a déclenché de violentes émeutes de jeunes des Pays-Bas. Aujourd'hui, une commission d'enquête reproche au réseau social d'être le seul responsable de cet événement devenu le "Projet X". Mais, Facebook est-il réellement le responsable de ce "clash des générations" ?
Les services de santé britanniques se sont alliés au réseau social Facebook pour promouvoir le don d’organe à l’heure où 10.000 personnes au Royaume-Uni sont sur la liste d’attente pour une greffe. Repéré surla BBC
Criminaliser la protestation sociale. Le ministre de l'Intérieur souhaite que tout appel sur Internet à une manifestation violente soit considéré comme un "délit d’intégration à une organisation criminelle". Résister pendant un rassemblement pourrait constituer un "délit d’attentat". Face à un tel emballement, juristes, indignés et universitaires dénoncent la tactique du pompier pyromane.
Les sites hébergés dans le Land du Schleswig-Holstein ne peuvent plus utiliser le bouton "J'aime" de Facebook sous peine d'une forte amende. Le patron de Facebook Europe, Richard Allan, a tenté de trouver un compromis avec les autorités allemandes sur la protection des données personnelles. Mais en négociant également avec Berlin, il a envenimé ses relations déjà tendues avec le Schleswig-Holstein.
Benoît XVI a envoyé son premier message sur twitter pour annoncer le lancement du nouveau site d'information du Vatican, www.news.va. Une conversion aux réseaux sociaux pour séduire les jeunes et attirer les brebis égarées.
Les partis politiques espagnols tentent de se rapprocher des Indignés du 15-M, notamment par le biais des réseaux sociaux, mais ils peinent à s'adresser à un mouvement dont ils ne comprennent pas l'organisation. Ce n'est, il est vrai, pas avec des politiques de rigueur qu'ils les séduiront.
Entre 10 et 30 000 personnes étaient attendues dans les rues de Bruxelles, dimanche 23 janvier. Ce sont finalement 40 000 Belges de toutes les communautés qui ont réclamé à l'unisson la formation d'un gouvernement, après plus de 200 jours de crise politique.
Après 200 jours de négociations, les politiciens belges en sont toujours à se chamailler. Simple spectateur, le citoyen crie son ras-le-bol. Tout a commencé sur le net, mais cela se terminera dans la rue.
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