Trois ans et demi de prison ferme: le président du Bayern Munich, Uli Hoeness, vient d'être condamné après quatre jours de procès. Portrait de ce "Cahuzac allemand", 250 matchs, 86 buts et 27 millions de fraude fiscale au compteur.
La ville de Zurich a ouvert l'été dernier un drive-in du sexe. L'objectif est de mieux protéger les prostituées, mais aussi de les éloigner du centre. Six mois après son ouverture, le lieu est devenu la terre d'asile de jeunes roms hongroises. De Budapest, Myeurop s'est rendu sur place.
Les Suisses disent "Non" à l'immigration? Pas tous. Le référendum helvète révèle surtout un pays divisé à 50/50 sur la question, et coupé en deux d'est en ouest, entre cantons francophones et germanophones.
Les Suisses ne plaisantent pas avec le travail. Selon une étude publiée aujourd'hui dans le quotidien Le Matin, 64 % des managers jugent leurs employés sur leurs vêtements.
La Suisse a décidé de limiter l'immigration des travailleurs de toute l'Union Européenne. La mesure est critiquée dans le pays et en Europe. Destinée à rassurer les citoyens helvètes, elle agace plus qu'elle inquiète.
Soucieuse de ne plus être sur la liste grise des paradis fiscaux en Europe, la Suisse est prête à accepter l’échange automatique de renseignements sur les comptes détenus par des étrangers. Le Luxembourg ferait de même dès 2015. La pression américano-européenne explique cette soudaine volonté de transparence. Repéré sur Le Temps
Uli Hoeness, président du Bayern Munich et big boss du foot allemand, est accusé d'évasion fiscale. A la veille de la demi-finale de Ligue des Champions opposant son club au FC Barcelone, Uli Hoeness, gestionnaire émérite et riche grâce aux saucisses, dévoile un nouveau visage à une Allemagne déçue, un de plus. Portrait.
Le sénat américain a rejeté cette semaine la réforme limitant l'usage des armes à feu. Une "honte" a fustigé Barack Obama, Président d'une nation où le droit à la détention d'armes est inscrit dans la constitution. En Europe, les législations sont plus sévères, mais des traditions libérales demeurent.
La Suisse reste un paradis pour les évadés fiscaux. Une large majorité des électeurs du très accueillant canton de Berne a rejeté par référendum le projet de suppression des "privilèges fiscaux" pour les très riches exilés. Combien sont-ils et combien payent-ils vraiment d'impôts?
La Suisse entend rester un paradis fiscal. Le "Conseil des Etats" helvètes a confirmé le statut fiscal très avantageux pour les riches exilés. La confédération alpine attend bras ouvert de nouveaux Français si François Hollande est élu.
C’est le dernier casse-tête fiscal à la mode en Europe. Le Royaume-Uni et l’Allemagne y sont déjà accros. Mais la France, qui commençait à se prendre au jeu, s’est finalement retirée de la partie hier. Quel jeu ? Les accords Rubik, ou comment garantir l’anonymat des exilés fiscaux contre une indemnisation pour leur pays d’origine. Qui l’a inventé ? Les Suisses, naturellement.
La Confédération helvétique veut réduire ses troupes à 100 000 hommes (contre 188 000 aujourd’hui) et se doter d'une flotille de 22 avions de chasse. Une décision qui rappelle à ceux qui l’auraient oublié que, oui, la Suisse a une armée. Mais pas n’importe laquelle. Une armée de citoyens.
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