Avec une abstention record qui reflète la lassitude des Grecs, ces élections voient le retour de la bipolarisation dans le jeu politique, et un retour à la "normalité" après des années qui ont traumatisé le pays.
La montée des partis anti-système en Espagne rend peu vraisemblable le maintien au pouvoir d’un gouvernement conservateur. Si les socialistes et Podemos parvenaient à former une coalition, la gauche serait nettement majoritaire dans l’Union européenne.