Le traité ACTA sur la contrefaçon, jugé liberticide, fait face à un front d’opposants de plus en plus large. Sous pression, la Commission européenne annonce une saisine de la Cour de justice de l'UE afin de déteminer si les droits fondamentaux sont menacés. Mais la bataille pour empêcher cette mise sous contrôle d'internet est loin d'être gagnée. Prochaine étape, le Parlement européen, où les débats débuteront le 1er mars, avant un vote en juin.
Les chefs d'État et de gouvernement européens se sont mis d'accord pour entamer une procédure de réforme du Traité de Lisbonne. Des modifications jugées d'office assez limitées pour éviter de nouvelles ratifications démocratiques.
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