Pour Manuel Valls, en France le chômage est "très bien indemnisé". Mais qu'en est-il vraiment? Les comparaisons avec nos voisins européens brisent un tabou comme le souhaite Emmanuel Macron: seuls les gros salaires bénéficient de confortables compensations.
Si la plupart des terminales se réjouissent des résultats, pour certains c'est la douche froide. Pas de panique, il y a une vie sans le bac ! Petit guide à l'usage du candidat recalé.
Passés la cinquantaine, généralement aux alentours des 55 ans, les salariés sont le plus souvent jugés "has been". Trop chers, pas assez performant ils sont, au mieux, mis au placard, au pire, poussés dehors. Constat caricatural? Pas vraiment.
Les 35 heures menacées cette fois par Emmanuel Macron. Pourtant, les Français ne sont pas feignants. Quand ils bossent, ils bossent plutôt vite et bien. En fait c'est le temps de travail des Européens qui fait l'objet de beaucoup de clichés: de la sieste des Grecs et des Espagnols au sandwich express des Anglais.
L'Allemagne est un des pays de l'Union européenne qui accueille le plus de Syriens. Mais une fois sur place, ces réfugiés sont livrés à eux-mêmes. Quelques mois après leurs arrivées, beaucoup sont reconduits dans le premier pays européen où ils ont mis les pieds.
Les salariés européens sont heureux au travail. Mais la peur du chômage les obligent à en faire trop et la frontière entre vie privée et vie professionnelle est de plus en plus floue.
L'immigration clandestine pose t-elle vraiment un problème au Parti pour l'indépendance du Royaume-Uni (Ukip) ? Difficile d'y croire. Depuis quelques semaines, le parti ultra-conservateur et xénophobe multiplie dans la vraie vie les petits arrangements avec ses positions idéologiques.
Moins bien payés que les femmes, des hommes ont porté plainte au Royaume-Uni et ont obtenu gain de cause. Les juges anglais estiment que le plafond de verre ne concernent que les femmes.
Partout en Europe les emplois à domicile sont en perte de vitesse. Au Royaume-Uni, l'Etat n'intervient que pour la garde d'enfants, les personnes handicapées et les personnes âgées. Et si en l'Italie ils résistent à la crise, en France et en Belgique la diminution des avantages fiscaux relance le travail au noir.
Les 35 heures des Français, la pause café des Portugais, la sieste des Grecs ou le sandwich express des Anglais: entre clichés et douces vérités, découvrez comment et quand bossent les Européens!
Un record dont il se serait passé: en 2012, le Portugal a perdu 10.000 personnes par mois selon l'Institut national des statistiques. De quoi plomber un pays, à peine sorti de la récession.
Où sont les infirmières? D'après une récente enquête menée au Royaume-Uni, le pays en manque cruellement. Cette crise touche toute l'Europe. Toute? Non: l'Espagne, dernier bastion où les personnels soignants sont légion, envoie ses garnisons à l'étranger.
Les femmes sont trop rares dans le secteur du numérique et des technologies de l'information, s'alarme Bruxelles. Ce manque de parité engendre un manque à gagner pour l'Europe de 9 milliards d'euros par an.
Revue du web Stress, dépressions,... Les Britanniques travaillent trop et ils en souffrent. Un think-tank préconise une semaine de 30 heures. L'économie et l'environnement en profiteraient aussi.
Pour maintenir le cap sur le plan économique, la Grande-Bretagne a besoin de sept millions d’immigrés d'ici à 2050. Une nécessité propre aux pays d'Europe de l'ouest. En cause, le vieillissement de la population.
Il y a 12 ans, Graciela achète un aller simple Bogota-Madrid. Depuis, comme beaucoup de latino-américaines en Espagne, elle est garde-malade à domicile. Un huis clos domestique, pour 800 euros par mois. Notre correspondant l'a rencontrée. Portrait d'une Européenne par adoption.
Religion et travail ont du mal à faire bon ménage en Europe. Entre tolérance et exclusion, les pays semblent indécis. Tour d'horizon d'un mariage souvent tumultueux...
Deux Espagnols sur trois âgés de moins de trente ans vivent toujours chez leurs parents. Pour des raisons culturelles mais surtout économiques, ce phénomène touche davantage le sud de l'Europe que les pays du nord. Et quand ils coupent le cordon, c'est pour quitter leur terre natale.
Alors que la circulaire Guéant fait encore débat en France, Londres réduit à son tour les possibilités pour les étudiants étrangers de travailler au Royaume-Uni à l'issue de leurs études. Dans un contexte de lutte de plus en plus dure contre l’immigration, cette mesure menace l’attractivité des universités britanniques.