L’examen de fin d’études secondaire en France prépare mal l’entrée à l’université. Ailleurs en Europe, il intègre beaucoup plus de contrôle continu et offre des options plus diversifiées permettant de mieux préparer les élèves à l’enseignement supérieur.
Alors que plusieurs dizaines de milliers de manifestants ont protesté à Budapest dimanche dernier, le président hongrois a promulgué, le lendemain, une loi controversée, dirigée contre une université financée par le milliardaire George Soros. Retour sur les raisons de la colère.
Le classement des établissements supérieurs qui offrent le meilleur salaire à leurs anciens étudiants révèle la prédominance des facultés suisses. La France place 11 établissements parmi les 30 premiers.
Tous à vos copies ! 686.907 lycéens s'arracheront les cheveux sur des maths, de l'histoire ou encore de la philo pour décrocher le baccalauréat. Un examen désuet pour certains, qui n'est déjà plus la règle chez nos voisins européens.
En Allemagne, l'homéopathie, est en passe d'entrer à l'université, où des non-médecins pourront s'y former. Une occasion pour ses détracteurs de relancer la machine à suspicion, contre une médecine douce "pseudo-scientifique"… pourtant plébiscitée par les Allemands. Explications.
De l'Espagne à la Grèce, l'Europe se lance dans l'aventure des MOOCs, ces cours en ligne ouverts à tous. Ou comment suivre les cours de Polytechnique ou de Cambridge depuis votre canap.
A Leipzig, les étudiants protestent. Leur faculté est au régime sec: 1000 postes doivent être supprimés d'ici à 2020. Cette ville de l'Est n'est pas un cas isolé. La stratégie allemande pour favoriser des "facs d'excellence" laisse de nombreux établissements sur le carreau.
C'est un effet inattendu du chômage espagnol: les trentenaires n'ont jamais été aussi nombreux dans les amphithéâtres. Mais la tendance dépasse la crise ibérique. Sur le modèle des pays scandinaves, le profil des étudiants européens évolue.
Et si le Portugal rejoignait la France? Après la mort de six étudiants à la suite d'un rite d’initiation, les syndicats étudiants et le Bloc de gauche tentent de faire adopter une loi anti-bizutage. En Europe, l'Hexagone mis à part, les bizutages sont souvent tolérés.
Un étudiant sur sept en Suisse a déjà eu recours au "dopage intellectuel". Ritaline, cannabis, ou cocaïne, tout est bon pour réussir ses études. Le phénomène gagne de plus en plus de pays européens.
C’est une semi-victoire pour les étudiants espagnols. Face à la fronde provoquée par la suppression, pour plusieurs milliers d'entre eux, des bourses Erasmus, le ministre José Ignacio Wert vient de faire machine arrière.
Economiser 3 milliards d'euros par an dans l'éducation: c'est le pari de l'austérité lancé par le gouverment Rajoy. Les coupes sèches n'épargnent ni les étudiants ni le corps enseignant espagnols. Pour myeurop, Gustavo Montes, prof d'université, partage ses coups de gueule et ses batailles.
Vrai débat ou fausse polémique ? L'enseignement de certains cours en anglais à l'université met le monde de l'éducation en émoi. Une pratique pourtant courante dans les autres pays de l'Union européenne.
Il ne fait pas bon étudier hors de son pays. Après la Belgique puis la France et sa circulaire Guéant, c’est au tour des Pays-Bas de ne plus vouloir payer les études des étudiants allemands. Amsterdam présente la facture à son voisin.
Alors que le nombre de seniors fréquentant les universités ne cesse de croître en Allemagne, le pays envisage de prendre des mesures pour limiter leur accès aux amphis afin de désamorcer un éventuel conflit intergénérationnel. Une menace prise également au sérieux en France où se multiplient des universités dédiées aux plus de 55 ans…
L’épouse du président Turc participe, foulard sur la tête, à la garden party donnée à l’occasion de la fête nationale. L'opposition dénonce cet affront à la République laïque. Cacophonie aussi dans les universités: les unes autorisent le port du foulard, d’autres respectent son interdiction officielle.
L’Union européenne veut accroître les cursus étudiants hors de leur pays d’origine. Mais à l’heure de la rigueur budgétaire, les pays d’accueil commencent à s’interroger : est-ce une priorité de financer la formation de jeunes Européens qui n’ont pas vocation à rester chez eux une fois leur diplôme obtenu ?
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