En réaction aux mouvements contre l'expérimentation animale, les scientifiques de l'association "Pro-test Italia" manifestent pour que les animaux restent des cobayes de laboratoire.
Les étudiants allemands sont toujours plus nombreux à poursuivre leurs études en Autriche. Une situation qui engorge certains cursus et nuit aux jeunes Autrichiens. L’État veut limiter cet afflux.
Avec l'augmentation du nombre de jeunes poursuivant leurs études, les cités U sont engorgées. Berlin propose de les installer dans les bureaux et casernes inutilisés.
Répéré sur le Saarbrücker Zeitung.
Erasmus serait en danger de mort. Le programme européen pour l'échange d'étudiants entre les universités européennes est à la diète budgétaire. Faute d'une rallonge financière par les pays de l'Union européenne, il est condamné, affirme l'eurodéputé Alain Lamassoure. Info ou intox ?
Copenhague occupe la 39ème place du classement des meilleures villes étudiantes du monde. Selon le Copenhagen Post, la capitale danoise envie ses homologues européennes mieux classées, notamment Paris, en tête du classement. Repéré surCopenhagen Post
200.000 Québécois ont défilé dans les rues de Montréal le 22 mars pour protester contre l'augmentation de 75 % des frais d'université d'ici à 2017. Mardi, à Bruxelles, des étudiants belges et québécois ont fait de même, par solidarité, mais aussi par peur d'une contagion libérale en Europe. Reportage.
Une manifestation contre la réforme de l’université publique, une banque assiégée, une photo qui fait le tour du monde, et l’étudiant catalan devient une menace à l’ordre public. Mais derrière le masque de la violence se cache le refus d’un futur sans avenir. Parole aux jeunes.
La "circulaire Guéant", signée le 31 mai, restreint l'accès au travail des étudiants étrangers en France. Après six ans d'études à Paris, et diplôme en poche, Victoria avait trouvé un emploi. Las, il lui reste moins de trois semaines pour quitter le territoire français. Portrait.
La France lance son "initiative d’excellence" pour l'Université financée par le "grand emprunt". Paris devrait cependant méditer l’exemple allemand. En renforçant son enseignement et sa recherche, Berlin a formé de nombreux surdiplômés, mais ils sont souvent au chômage.
Trop cher! La liberté laissée aux universités britanniques d’imposer jusqu’à 9000£ de frais annuels d’inscription est dissuasive pour les étudiants. Le ministre de l'Education lui même craint que les amphis se vident à la rentrée 2012. Il en est réduit à proposer de donner des iPad ou des ordinateurs pour attirer les étudiants.
Après un premier round il y a trois ans, l’Allemagne devrait d’ici un an couronner de nouvelles Universités d’élite dotées de généreuses subventions. Objectif: renforcer la "compétitivité internationale" des facs d’Outre-Rhin et séduire les meilleurs étudiants européens.
Alors que l’éducation nationale fait aujourd’hui les frais de la rigueur budgétaire, une étude vient rappeler que le taux d’encadrement des élèves et des étudiants hexagonaux est un des plus bas des pays de l’OCDE. De quoi relancer les polémiques et occulter les vrais débats sur les moyens à mettre en place pour augmenter la qualité de l’enseignement.
La France veut privilégier les facs "d'excellence" financées par le grand emprunt. Nombreux sont ceux qui dénoncent une "université à deux vitesses". L'Allemagne l'a fait sans état d'âme à coup de milliards pour attirer les cerveaux de la planète. Reportage.
Depuis cinq ans, l’université de Sarrebruck propose aux enfants de 8 à 14 ans de faire leurs premiers pas à la fac. L'initiative a fait, depuis, école et rencontre un succès croissant. Reportage.
Après les étudiants britanniques, c'est au tour des Italiens. Ils ont occupé les principaux monuments du pays pour protester contre les coupes budgétaires pour les universités et le doublement des frais d'inscription. Ceci alors que la chute du gouvernement Berlusconi est annoncée pour la mi-décembre.
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