Prolongation de l’état d’urgence, déchéance de nationalité, 5000 poste de policiers… Après les attentats de Paris, le Président de la République met l’accent sur la repression. Partout en Europe, les défenseurs des libertés civiles s’inquiétent.
Les policiers belges ne se sentent plus en sécurité. Les forces de l’ordre ont défilé dans les rues de Bruxelles pour faire réagir le gouvernement. Mais les fonctionnaires de police n’ont-ils pas leur part de responsabilité dans cette affaire?