Malgré l'alerte lancée par le mouvement #MeToo il y a deux ans, les violences sexistes à l'encontre des femmes restent peu étudiées et répertoriées, surtout au niveau du Continent.
Le scandale Weinstein n’en finit pas de faire des vagues dans le monde entier. Les pays européens ont tous renforcé les mesures pour lutter contre ce fléau même s’ils sont diversement touchés.
Outre-Manche, les violeurs sont de moins en moins condamnés. Et ce n'est pas dû à une diminution des agressions sexuelles, mais bien au laxisme et au sexisme de la police et de la justice britannique.
Le ministre de la défense a annoncé un plan de lutte contre les violences faites aux femmes dans l'armée. Première mesure: l'inscription du harcèlement dans le code de la défense. Ailleurs en Europe, les femmes conquièrent péniblement leur place dans les armées, face à des hommes parfois très crispés par la question.
Le phénomène est massif: en Europe, une femme sur trois est victime de violences. Mais l'enquête menée par l'Union européenne révèle un paradoxe: dans les pays nordiques, pourtant plus égalitaires, la violence serait plus élevée.
Une nouvelle enquête officielle suggère que Wolfgang Priklopil, l'homme qui a kidnappé et séquestré Natascha Kampush pendant 3.096 jours, n'aurait pas agi seul. Son complice pourrait également l'avoir assassiné.
Elles sont femmes politiques, artistes, businesswomen, sportives ou des consciences morales dans des sociétés en quête de boussoles. Plutôt que de consacrer une journée aux femmes, MyEurop a choisi de leur dédier une semaine entière, en mettant, chaque jour, en avant une représentante du Deuxième Sexe qui fait bouger les lignes en Europe. Deuxième portrait : Sofi Oksanen
Malgré la pression, Julian Assange est apparu déterminé et volontaire pendant la première journée de son procès. Il compte bien se défendre jusqu’au bout.
Newsletter
Inscrivez-vous pour recevoir directement nos articles par mail.