Selon l'Insee, la croissance française a atteint 1,9% en 2017, contre 1,1% en 2016, grâce à un quatrième trimestre dynamique (+0,6%). Une croissance portée par la relative bonne santé économique de l'Union européenne.
Pour la deuxième année consécutive, le nombre de passages clandestins a diminué selon l'Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes (Frontex)
Les trois partis indépendantistes catalans conservent leur majorité au Parlement régional, à l'issue des élections qui se tenaient hier. S'il s'agit d'un camouflet pour le gouvernement de Mariano Rajoy, la Catalogne apparaît plus divisée que jamais.
Plusieurs dizaines de milliers de partisans de l'indépendance catalane se sont réunis dans la capitale belge, jeudi 7 décembre. Ils demandent à l'Europe de respecter le peuple catalan.
Destitué après la tentative d'indépendance de la Catalogne, l'ancien président de la région espagnole demeure visé par un mandat d'arrêt dans son pays.
La déclaration de l’indépendance catalane s’inscrit dans l’histoire particulière de l’unification de l’Espagne. Les grandes nations d’Europe se sont constituées différemment, les unes il y a plus de mille ans, les autres beaucoup plus récemment.
Le président catalan, Carles Puigdemont, a déclaré l'indépendance de la région espagnole hier soir. Le gouvernement de Mariano Rajoy a immédiatement décidé de placer la Catalogne sous tutelle
L’imbroglio catalan peut notamment s’expliquer par la rigidité de la constitution espagnole. Ailleurs, les autres constitutions garantissent aussi, à des degrés divers, l’indivisibilité de la nation. Mais ce n’est le cas ni en Belgique, ni en Allemagne, ni au Royaume-Uni
L'Espagne retient son souffle, alors que le président catalan, Carles Puigdemont, doit intervenir officiellement ce soir à propos de la « situation politique » issue du referendum tendu organisé la semaine dernière. En jeu, l'indépendance d'une région parmi les plus riches du pays.
Que le référendum pour l'indépendance ait lieu ou non, dimanche, en Catalogne, la seule idée de l'auto-détermination peut faire frémir les partisans d'une coopération plus poussée entre Etats membres de l'Union européenne.
Les tensions sont vives en Catalogne tandis que Madrid tente d’empêcher la tenue du référendum d’indépendance prévue dimanche. Ailleurs en Europe, la fièvre sécessionniste tend à se calmer, notamment en Ecosse et en Italie du Nord.
Malgré le refus sans cesse répété de Madrid, le gouvernement séparatiste catalan souhaite toujours organiser le 1er octobre prochain un référendum pour l'indépendance de la région. Hier, des milliers de manifestants étaient dans les rues de Barcelone pour réclamer ce droit à l'autodétermination.
Excédés par les nuisances en tout genre, les habitants des métropoles européennes ont fait du tourisme de masse, favorisé par les plateformes comme Airbnb, l’ennemi public numéro un. Pour lutter contre ce fléau, les initiatives locales destinées à responsabiliser les visiteurs se multiplient, mais d’autres formes d’actions plus agressives voient également le jour.
Au lendemain d'une manifestation contre le terrorisme, dans les rues de Barcelone, qui a réuni 500 000 personnes, le chef de l'exécutif régional, Carles Puigdemont, a réaffirmé son souhait d'organiser un référendum le 1er octobre prochain pour l'indépendance de la Catalogne.
L'attaque, qui a fait 13 morts et une centaine de blessés, a été revendiquée par Daesh en réponse à l'engagement de l'Espagne dans la coalition internationale qui oeuvre en Irak et en Syrie. Depuis les attentats de Madrid, en 2004, le pays s'est pourtant armé de l'un des meilleurs systèmes de prévention d'attaques terroristes au monde.
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